The Island : Gros clash entre les chroniqueurs de TPMP sur les animaux tués dans l'émission !

Ce soir dans TPMP, les chroniqueurs sont longuement revenus sur le dernier épisode de The Island. Deux scènes mettant en avant des animaux tués ont provoqué un sacré clash. Explications.
L'ambiance est au beau fixe ce soir dans Touche pas à mon poste. Alors que Cyril Hanouna vient de dévoiler une nouvelle parodie de Top Chef intitulée Les rois du barbecue, la bande en vient à parler de l'ultime épisode de The Island, seuls au monde, diffusé hier soir sur M6. En quelques minutes, les esprits s'échauffent. Au cœur des débats : 2 moments assez durs où l'on voit les candidats tuer un caïman puis un cochon dans le but de s'alimenter. Des images trop cash pour un programme familial proposé en prime time selon Caroline Ithurbide, qui regrette qu'aucun message d'avertissement n'ai été diffusé avant. C'est à ce moment qu'Isabelle Morini-Bosc sort de ses gonds. «Je vous trouve hypocrites. Ca montre la réalité des choses. » explique-t-elle. Elle est soutenue par Issa Doumbia. « D'accord c'est violent, mais tout le monde ici vous mangez de la viande. » ajoute-t-il. Voici la séquence a l'origine de la polémique, qui a également choqué sur Twitter.

Le ton monte entre les chroniqueurs présents autour de la table. Thierry Moreau estime scandaleux de voir des animaux tués à la télévision «pour du divertissement». Pour Isabelle Morini-Bosc, The Island n'est pas de la télé-réalité mais une émission de survie, quasiment un documentaire qui permet paradoxalement d'acquérir plus de respect envers l'animal. Des propos qui font exploser Gilles Verdez de colère ! Toujours très mesuré, le chroniqueur s'exclame alors : «Vous êtes des meurtriers ! Vous légitimez le droit de tuer des animaux dans une télé-réalité. ». Après un chahut général où personne ne semblait d'accord avec l'autre, Cyril Hanouna a fini par clore les débats, rappelant que l'émission est un succès d'audience. Elle reviendra pour une saison 2 avec beaucoup plus d'épisodes à la clé.